Numero 3 Lexmag - Magazine - Page 35
Témoignage
TÉMOIGNAGE
Camille, Full Stack Engineer
chez Lexbase, a fait cette
école, elle nous en parle
Ce n’est pas mon école d’ingénieur qui m’a donné envie de faire du développement.
Pour être plus précise, c’est au début de ma terminale, en discutant avec mon père et
en visitant quelques salons, que j’ai commencé à ré昀氀échir à mes études supérieures.
Au départ, je voulais faire de la comptabilité, car je me débrouillais bien en maths et
j’aimais cette matière. Mais au fur et à mesure que l’année avançait, j’ai commencé à
remettre en question mon choix de carrière. C’est lors d’une conversation avec mon père
que j’ai réalisé que l’informatique m’intéressait vraiment. Il travaille dans les télécoms en
tant que manager d’une équipe de développeurs et d’architectes, et il m’a un peu parlé de
son métier. Comme j’adore les jeux vidéo, je me suis dit : "Pourquoi ne pas travailler dans
ce domaine ?" Finalement, lors du dernier salon étudiant, j’ai préféré suivre les conseils
de mon père et j’ai choisi une école d’ingénieur généraliste (et il avait raison d’insister !)
La grande di昀昀érence avec une école d’ingénieur spécialisée, c’est que dans une école
généraliste, on ne se spécialise pas directement dans un domaine particulier de l’informatique. Si on veut se spécialiser, il faut faire des recherches à côté et s’intéresser à
d’autres technologies et langages de programmation.
Au début, je n’aimais pas vraiment développer, ça me prenait la tête. Mais quand j’ai
rejoint Lexbase, j’ai retrouvé le plaisir et l’envie de coder. Ré昀氀échir à comment mettre
en place telle ou telle fonctionnalité, choisir les bonnes technologies, optimiser les requêtes en bases de données, etc. Et surtout, j’aime chercher à améliorer en continu
ma façon de coder et apprendre de nouveaux langages. Récemment, j’ai mis en place
un bot sur un serveur Discord que je gère, et j’ai commencé à apprendre AngularJS.
Ce n’est pas toujours facile, mais je travaille sur des projets vraiment intéressants, qui
enrichissent autant ma culture générale que mon bagage
technique. Grâce à ma rigueur et à mon travail, j’ai pu
bien évoluer. Quant à l’intelligence artificielle, je ne
m’y intéressais pas particulièrement au début. C’est
seulement pendant mes études que j’ai vraiment commencé à en entendre parler, car c’était encore les
prémices de l’IA à ce moment-là et chez Lexbase
où j’ai pu explorer et mettre en pratique cette
nouvelle technologie.
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