LMI MAG 2 Mars 2020 - Magazine - Page 23
PROFIL LINKEDIN
bit.ly/2wx8yZ0
Plusieurs retours
d’expérience ont également
été organisés sur les APT,
sur les audits côté clients/
offreurs, sur les SOC
et le Bug Bounty.
© DR
attentes, il y a une appétence pour savoir comment ont
été traitées les grandes attaques par ransomware qui ont
fait l’actualité l’année dernière. Nous voulons aussi en
savoir plus sur les nouvelles offensives de phishing qui
touchent toutes les entreprises. De même, nous sommes
partenaires de Cybermaveillance.gouv.fr et du Clusif,
et nous souhaiterions avoir leurs feedback.
Le cyber campus va devenir une réalité,
êtes-vous intéressé par cette aventure ?
JG : À l’occasion du FIC, nous avons eu des discussions
avec Michel Van Den Berghe autour de ce sujet (NDLR :
le DG d’Orange Cyberdéfense, nommé en juillet 2019 par
le Premier ministre pour concevoir un cyber campus).
En tant que club utilisateurs, nous espérons avoir des
instances où l’on puisse rencontrer, partager, échanger
avec d’autres RSSI, d’autres clubs en France, en région
et à Paris. On attend cela avec impatience. Dans l’idéal,
s’il peut y avoir une antenne dans la région Nord, cela
facilitera le travail de nos membres.
Quelle va être la feuille de route du Clusir Nord
pour l’année à venir ?
JG : Il y a plusieurs axes de travail que nous allons pro-
poser en assemblée générale. En premier lieu, nous voulons plus nous ouvrir aux PME et intensifier notre rôle
de partage à destination de ces membres. On s’étendra
également au monde des start-up. Certaines échangent
déjà avec nous sur les exigences de sécurité des donneurs
d’ordres que sont nos membres. Par ailleurs, nous souhaitons améliorer et renforcer la qualité des intervenants
aux conférences-débats. Il y a une volonté pour le Clusir
Nord de France de passer à une vitesse supérieure.
Pour Joseph Graceffa, il faut que le Clusir « reste un club d'utilisateurs ».
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