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Les cafés étaient – et continuent d'être – des
pour parler, écrire, lire, se divertir ou passer
suggèrent que nous utilisons une conversation
notre connexion au sein d'un groupe, ainsi
d'informations.
lieux où les gens se réunissent
le temps. Certaines recherches
légère pour établir et maintenir
que pour un simple transfert
Ainsi, en offrant un espace d'interaction régulière, mais non planifiée, avec les
membres de la communauté, les cafés peuvent jouer un rôle dans la création de
réseaux sociaux, et donc encourager les valeurs communautaires.
Les cafés, en tant que lieux de rencontre, contribuent à faciliter la diffusion de
l'information. Cela se produit de manière informelle, en raison de la socialisation
et, dans certains cas, grâce à la disponibilité de panneaux d'affichage. Au fur et
à mesure que l'information passe par un réseau social, les individus au sein de la
communauté s'influencent les uns les autres. Les comportements et les normes
qui viennent d'être adoptés sont le reflet de cette interaction permanente et de
cette cognition collective.
Dans de nombreux pays, les aspects sociaux du café ont évolué pour inclure la
maison, où les individus organisent des matinées café pour que les amis et la
famille se réunissent et discutent. Une étude a suggéré qu'au fil du temps,
l'isolement social peut être associé à une fonction cognitive plus faible chez les
personnes âgées, et une autre a révélé qu'offrir du café dans le salon d'une
maison de retraite encourageait une interaction sociale accrue, par conséquent,
certains pourraient bénéficier de telles occasions sociales. .
Le café est une boisson couramment consommée sur le lieu de travail et peut
être considéré comme faisant partie intégrante de la culture du lieu de travail.
Au travail comme dans d'autres sphères sociales, l'expression « allons prendre
une tasse de café » est souvent synonyme de « ayons une conversation ».
De plus, les pauses-café offrent un moment de « temps d'arrêt » sur le lieu de
travail. Bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires, une étude
portant sur des fonctionnaires danois faisant l'objet d'une fusion à grande
échelle a révélé que le stress des travailleurs était soulagé en formant des «
communautés d'adaptation » pendant les pauses-café avec des collègues. Ces
communautés ont permis une interaction sociale avec d'autres employés, leur
permettant de partager à la fois des opinions professionnelles et des
frustrations personnelles avec leur travail.
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