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RENCONTRE
II- La WNBA en général :
Dunkiin : Pour les plus néophytes, pourrais-tu nous
faire un rapide descriptif de la WNBA ?
Stéphanie : On entend souvent que la WNBA c’est la
NBA féminine, mais ce n’est pas totalement exact,
c’est un jeu différent avec beaucoup moins de
physique mais beaucoup plus de place laissé au jeu
collectif. Alors oui on peut ne pas aimer cette ligue
ou cette façon de jouer, mais il faut s’y intéresser et
surtout ne pas avoir d’a priori
Dunkiin : Que penses-tu du manque d’exposition de
la ligue ?
Stéphanie : Je pense que c’est sur la bonne voie pour
que ça change, c’est lent mais ça viens. On a déjà
un très gros travail de Cathy Engelbert, l’actuelle
directrice de la ligue. On a également l’intérêt des
joueurs NBA qui commence à croître et qui est
génial pour la visibilité. Et enfin la WNBA est plus
accessible que jamais ce qui encore une fois est une
très bonne chose.
Dunkiin : Quelles sont tes équipes préférées ?
Crédit photo: Stéphanie Lahaye / ROSI MEDIA
Stéphanie : J’aime beaucoup les Knicks et donc le
Liberty, j’aime aussi beaucoup les Mystics et les
Storm, je déteste les Lakers Sparks.
Dunkiin : Qu’est ce qui te plaît tant dans cette ligue
comparer aux autres ?
Stéphanie : Il y a beaucoup de trucs que je n’aime pas
spécialement en NBA, à commencer par Lebron.
Toutefois je respecte les joueurs et les carrières.
J’avais un peu saturé de la NBA et la fraîcheur de la
WNBA avec des joueuses superbes comme Taurasi
ou Bird m’a vraiment fait m’y intéresser.
III- La culture basket :
Dunkiin : Quelles sont pour toi les surprises et les
déceptions de cette saison WNBA ?
Dunkiin : Quel est ton film préféré sur le basket ?
Stéphanie : La plus grosse déception je pense que
c’est le Sky de Chicago, on les attendait à un très très
haut niveau avec l’arrivée de Candace Parker, mais
malheureusement à cause des blessures c’est un peu
plus compliqué.
Stéphanie : En tant que grand fan de Jordan je me sens
obligé de dire Space Jam.
Et pour la surprise je pense que c’est les Seattle Storm
qui reste très fort et serein malgré deux gros départs
à la dernière intersaison.
Stéphanie : Il y en a nettement moins qu’avec la NBA, il
y en a même très peu, mais on peut quand même citer
la chronique de Candace Parker sur TNT ou encore
quelques apparitions de joueuses dans des films
comme Space Jam 2 ou encore Uncle Drew. Mais le
problème avec ça, c’est que la majorité des joueuses
n’ont pas le temps de faire autre chose que de jouer
au basket, ce qui rend les apparitions dans la culture
difficile.
Dunkiin : Quelles sont tes attentes pour la fin de
saison ?
Stéphanie : J’aimerai des finales avec un peu de suspens
pour changer du sweep que Seattle a infligé à Las
Vegas l’année passée et pourquoi pas un dernier titre
pour Sue Bird avant sa retraite.
Dunkiin : Quels sont les exemples de WNBA dans la
culture ?
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