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" Nous ne savions rien de l’électricité, du téléphone et du moindre confort, ce qui faisait
qu’on ne passait pas son temps à pleurer sur ce qu’on n’avait pas."
" Notre vie peut ne pas paraître très drôle, et cependant, ce que nous avons
pu être heureux ! "
Extraits du livre de Françoise Gréaux Alléluia sous les tropiques.
Il n’y avait
pas de cantine à l’école.
Certains enfants emportaient des
galettes, des pommes de terre frites ou des
omelettes. D’autres rentraient déjeuner
chez eux, et faisaient ainsi deux
allers-retours par jour.
Les
objets en latanier
étaient surtout destinés
à être vendus au colporteur,
qui passait régulièrement et
les revendait dans les
îles avoisinantes.
Pour la plu
- une des part des enfants
Certains, premières à St-B de l’île, l’école de G
et scolari comme ces jeunes arth - était trop éloustavia
sés à Sain
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t-Martin. lles, étaient en penignée.
sion
Depuis les années
d’autres objets qu 1960, on utilise le latanier po
aussi à décorer e des sacs et des chapeaux. ur confectionner
Aujourd’hui, il se
la maison.
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Jusque dans les an les chaussures étaient un luxe.
surtout à pied, mais
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femmes, enfants, tosoit leur âge, hommes,
Aujourd’hui la pratiq ut le monde tressait.
à disparaître car il ue de la tresse tend
n’y a presque plus
lataniers.
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Allez,
avance!
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